S’appuyant sur de récentes recherches scientifiques, Guillaume Barth part du postulat que les arbres sont capables de transmettre des informations à leur environnement à travers un langage qui leur est propre. Pendant plus de trois ans, l’artiste a retranscrit les données observées auprès de 130 chênes. Il en résulte la composition de partitions musicales surprenantes.
Interprété à l’occasion du vernissage de l’exposition, le « Concert pour une Nouvelle Forêt » constitue le point d’orgue du projet. Le jardin de la Fondation Bullukian a été choisi comme théâtre de la première représentation publique du concert, célébrée par la pianiste Neus Estarellas en présence des 130 chênes.