Artificial Landscapes est aussi un voyage sensitif qui illustre les paradoxes de l’être humain à travers un paysage architectural et humain, où le corps devient essentiel, infime et éphémère. Le jardin de la Fondation Bullukian, entouré de ses murs écorchés, devient le temps de l’exposition un lieu de liberté, ouvert à la danse et à l’imprévu, à l’expérimentation et à l’échange. Ce projet est une histoire dont l’écriture a mobilisé une centaine de femmes et d’hommes, tous bénévoles, passionnés et enthousiastes pour y participer. Une aventure, comme un paysage humain.